AUA Paul Chemetov architectes urbanistes associés
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Projets

Ministère de l'économie, des finances et du budget

Paris

1984 – 1989


Statut : Réalisation
Lieu : Paris
Programme : Équipements publics
Regroupement des services du Ministère : bureaux des ministres, bureaux, centre de conférence, salles polyvalentes, crèches, ateliers, restaurants

Superficie : 225 000 m²
Coût : valeur 1984
Calendrier : 1984 — 1989

Maîtrise d’œuvre : Paul Chemetov et Borja Huidobro, architectes. Borja Huidobro, architecte mandataire. Emile Duhart-Harosteguy, architecte conseil R. Benavente, H. Chanson, J. Chantalat, G. Chauvelin, J-P De Graef, Louison Gorgiard, Y. Lietar, F. Vial, assistants
Maîtrise d’ouvrage : Ministère de l'Economie, des Finances et du Budget, Direction du personnel et des services généraux
Ingénieur conseil : Marc Mimram
Paysage : Alexandre Chemetoff
Bureaux d'études : Serete, Sechaud & Bossuyt, Setec, SGTE, Seri-Renault


Dans sa composition et ses différentes échelles, ce projet prend en compte les différents éléments du site et répond par ses parties à son évaluation et à sa compréhension. Par sa pierre il répond à celle du viaduc, par ses douves et terrasses plantées à celles du Palais des sports, par sa forte charpente aux arches métalliques du métro aérien. L’ensemble du bâtiment se partage selon un quadrillage repris par les trois hectares de jardins, toitures et terrasses. Le module fait et pose la personne, comme il l’intègre à un ensemble. La hiérarchie de l’administration se définit par le nombre de mètres carrés alloués à chaque bureau. Ainsi l’édifice entérine une stratification sociale de l’emploi dont l’évolution est aussi affaire de géométrie. Sa logique structurelle élaborée et discrète, malgré son gigantisme, se soumet à la volonté de montrer d’abord une institution souveraine. Il instaure désormais un nouveau modèle de l’institution en France.

Projets

Dans sa composition et ses différentes échelles, ce projet prend en compte les différents éléments du site et répond par ses parties à son évaluation et à sa compréhension. Par sa pierre il répond à celle du viaduc, par ses douves et terrasses plantées à celles du Palais des sports, par sa forte charpente aux arches métalliques du métro aérien. L’ensemble du bâtiment se partage selon un quadrillage repris par les trois hectares de jardins, toitures et terrasses. Le module fait et pose la personne, comme il l’intègre à un ensemble. La hiérarchie de l’administration se définit par le nombre de mètres carrés alloués à chaque bureau. Ainsi l’édifice entérine une stratification sociale de l’emploi dont l’évolution est aussi affaire de géométrie. Sa logique structurelle élaborée et discrète, malgré son gigantisme, se soumet à la volonté de montrer d’abord une institution souveraine. Il instaure désormais un nouveau modèle de l’institution en France.